Emile Zola Au bonheur des Dames
Ce livre présente la création de l’ascension des grands magasins à Paris dans les années 1860, ainsi que la faillite des petits commerces qui en sont la conséquence.
Denise Baudu, jeune vendeuse originaire de Province et Octave Mouret, patron du Bonheur des Dames, en sont les témoins privilégiés.
D’une part, Zola décrit les avantages nombreux des grands magasins.
Mais d’autre part, l’auteur dénonce les conséquences tragiques et cruelles de cette modernité.
Tout d’abord, on peut remarquer que le roman commence avec la mise en valeur du Bonheur des Dames lors de l’arrivée de Denise à Paris qui occupera tout le premier chapitre, Zola a voulut montrer à travers Denise l’étonnement et la surprise de la nouveauté des grands magasins. En découvrant la suite du chapitre, l’auteur réussi à nous mettre dans la peau de Denise Baudu et à nous faire découvrir les étalages, les vitrines … Puis il faut remarquer l’immense variétés de vocabulaires utilisée pour décrire la grandeur du magasin et se qu’il se trouve a l’intérieur de celui-ci comme des articles en fourrure, de lainage, de draperie … L’auteur a également voulut nous faire part de la précipitation, de l’activités incessante qui se trouve dans les rues, vers les portes du Bonheur des Dames, en résumé se premier chapitre ou se trouve toute ses descriptions est présent pour nous permettre de visualiser la grandeur, l’immensité du magasin et nous mettre a la place de Denise Baudu, marquons également le fait que pendant sa période de travaille Zola décrit l’empressement des clientes dans les rayons ont peut le voir à travers différentes citations comme : « Les jupons blancs de toutes les longueurs, le jupon qui bride les genoux et le jupon à traîne dont la balayeuse couvre le sol, une mer montante de jupons, dans laquelle les jambes se noyaient. » Cette phrase montre le nombre de clientes qui envahissent le