L’empreinte écologique est une méthode qui mesure en hectares la quantité de ressources nécessaires à l’homme. Elle nous aide a savoir si un pays est en déficit ou excèdent écologique en la comparant à la biocapacité qui est, la mesure en hectares de notre capacité à régénérer les ressources naturelles et les déchets provenant de leurs consommations. Il est aussi utile de savoir que les principaux composants de cette empreinte sont: les ressources naturelle (eau, bois, pétrole), l’énergie (fossile, grise, nucléaire), la nourriture (pêche, élevage, agriculture) et l’urbanisation.
Cela nous amène à une simple question : comment faire si nous sommes en déficit pour abaisser cette empreinte écologique ?
Pour répondre à cette question, nous allons nous tourner vers l’empreinte écologique de la Suisse qui, comme tous les pays du nord, est en déficit écologique donc elle dépend des pays du sud qui sont en excédent écologique.

Pour commences, nous savons que la Suisse est un pays en déficit. Les causes principales de ce déficit sont le gaspillage et la « surconsommation » des ressources renouvelables. Ces causes on pour effet un impact direct sur notre planète et nous mêmes comme la baisse de notre qualité de vie ou la dégradation de la nature. Nous nous retrouverons aussi face à une planète incapable de produire assez rapidement et en suffisance de ressources renouvelables.

Cela nous amène donc à nous demander comment faire pour pourvoir équilibrer cette empreinte.
Une des solutions simple et efficace mais qui nécessite un dynamisme de groupe afin d’avoir de vrais résultats, est de changer notre mode de vie actuel en un mode de vie durable. Pour réussir, nous devrions par exemple faire plus attention aux répartitions des ressources dans le monde entre les pays dit du nord et du sud. La modification de notre vie au quotidien devrait aussi changer par exemple la mobilité comme prendre les transport publique au lieu de la voiture. Nos habitudes en ce qui concerne