En Attendant Godot Martin Esslin a inventé le théâtre de l'Absurde en Europe de l'Est pour certaines œuvres de dramaturges écrites dans les années 1950 et 1960. La phrase vient d'un essai d'un philosophe, à savoir Albert Camus, qui définit la condition humaine comme manquant de sens et absurde. Les dramaturges absurdes incluent Arthur Adamov, Samuel Beckett entre autres. Ils cherchent à montrer le manque de but et l'illogisme de l'existence humaine. Waiting for Godot est l'une des pièces de théâtre …afficher plus de contenu…

Cette fonction est réalisée par la coordination de l'expression et de l'action. La mise en scène occupe la plupart des parties de la pièce, agissant ainsi comme une narration lorsque Vladimir et Estragon ne disent pas au public ce qui se passe. Par exemple, vers le premier acte, Estragon suggère à Vladimir d'aller quelque part - «allons-y», ce à quoi il est d'accord, mais la mise en scène dit «ils ne bougent pas». De plus, vers la fin de l'acte deux, Didi et Gogo utilisent le même dialogue. En conséquence, l'idée que les personnages de jeu vivent après la pièce est introduite. De plus, une réitération des expressions idiomatiques, des clauses et des actes domine la …afficher plus de contenu…

En outre, la répétition de l'action transmet un sentiment de futilité et manque de sens implicite. Par conséquent, cela prouve également que l'information peut être fournie sans langage, ce qui est lié à la pantomime. Beckett semble insister sur le fait que la communication par le silence et les gestes peut être efficace comme celle des mots parlés. Son attaque la plus vigoureuse contre les mots est l'utilisation du silence comme moyen de communication. Le silence peut être inconfortable et fait que le temps semble s'écouler lentement. Les personnages principaux refusent de laisser la place au silence car ils ne veulent pas le reconnaître; ils commencent à communiquer pour éviter le silence - tous deux parlent sans aborder les vrais