En quoi les différentes réactions aux attentats du 11 septembre 2001 révèlent les difficultés du nouvel ordre mondial né après la fin de guerre froide.
Ici, l'auteur présente la France comme le plus vieil allié des États-Unis, car, comme il le dit dans son texte, nous, français, lui devons notre liberté.
En effet, malgré les "lois de neutralité" qui interdisent aux États-Unis d'intervenir directement dans le conflit de la deuxième Guerre Mondiale (jusqu'en 1941), Roosevelt fit preuve de ténacité et ceux-ci purent apporter leur aide, notamment aux français avec le débarquement américain en Normandie, en juin 1944,
Le 9 novembre 1989, la chute du mur de Berlin (construit à partir de la nuit du 12 au 13 aout 1961) met fin à 50 ans de séparation entre les deux parties de l'Allemagne, la République fédérale allemande (RFA) et la République démocratique allemande (RDA).
Après les attentats du 11 septembre, les États-Unis montrent une nouvelle facette. Ils entrent en guerre contre le terrorisme. On confirme donc que c'est la première puissance militaire. On les appelle même « le gendarme du ciel », du fait de leur avancée technologique.
La chute de l'URSS en 1991 met fin à la Guerre Froide. Cela démontre l'excellence du modèle américain, seule grande puissance à l'échelle de la planète. Première puissance économique mondiale, elle influe sur l'évolution du monde. Mais les réactions de rejet qu'elle suscite, parfois très violentes comme le rappellent les attentats, sont à la hauteur de sa puissance.
Les terroristes du 11 septembre 2001 ont visés la superpuissance économique américaine avec les Tours du World Trade Center, bâtiments hautement symboliques, militaire, avec le Pentagone, et enfin tutélaire, c'est à dire protecteur.
La réaction des États-Unis donna de suite une dimension historique mondiale. Les relations internationales en sortent profondément transformées.
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