Erving Goffman rites
Chapitre I
« Perdre la face ou faire bonne figure ? »
Lors de ses contacts dans le monde social, individu extériorise une ligne de conduite = Canevas d’actes verbaux et non verbaux qui lui sert à exprimer son point de vue sur la situation, et par là l’appréciation qu’il porte sur les autres participants et not lui même.
« face » valeur sociale positive qu’une personne revendique effectivement à travers la ligne d’action que les autres supposent qu’elle a adopté au cours d’un contact particulier. Image du moi déclinée selon plusieurs attributs sociaux. Individu a une réponse émotionnelle immédiate à la face que lui fait porter un contact avec les autres > la soigne, s’y attache. Crainte d’être démasque donc tout contact avec les autres perçu comme un engagement.
Individu garde la face quand donne une image de lui consistante. Un personne qui arrive à garder l face s’est souvent abstenue de certains actes auxquels il aurait été difficile de faire face plus tard. Quand une personne sait qu’elle garde bonne figure > confiance & assurance.
Quand quelqu’un assume une image de soi qui s’exprime à travers la face qu’il présente, doit s’y conformer.
Donc > Faire preuve d’amour propre, répudier certaines actions trop en dessous ou au dessus de sa condition, se forcer à en accomplir d’autres.
Personne doit donc maintenir un certain ordre expressif > ordre qui régule le flux des événements. Tout ce qu’ils paraissent exprimer doit ê compatible avec la face qu’elle présente. Dans la société, si qqlun présente ce scrupule envers lui même = fierté, envers instance sociales = honneur. Si s’applique aux choses du maintien : aux expression produites par la manière dont une personne maîtrise son corps > on parle alors de dignité. Par ses attributs, par la face qu’il porte > tout homme devient son propre geôlier.
Dans les rencontres, chacun se conduit de façon à maintenir sa face et celle des autres participants. Pourquoi sauver la