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Es savoir faire l'etat et les politiques conjoncturelles

861 mots 4 pages
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DS d'éco fiche de revision :les savoir faire l'etat et les politiques conjoncturelles

Liberaux: merché s'auto régule ( il revient par lui meme a l'équilibre)
Regulationnistres ( ou keynesiens) le marché ne se regule pas lui meme, il faut une institution exterieure qui intervienne

L'etat intervient ( crise +guerres), on passe d'un etat a fonctions régaliennes(traditionnel) à un etat de + en + interventionniste et d'un etat gendarme a un etat providence(= politique de relance )

Effet cliquet : les depenses publiques augmentent mais ne diminuent jamais apres guerre
Etat gendarme : liberaux: sécurité + defense + justice (= fonctions régaliennes) infrastructures ( dont ecoles avec la loi ferry de 1882
Etat providence: keynesiens: fonctions régaliennes + intervention sociale ( sécu ) et économiques ( secteur public,,)

Taux de prelevement obligatoire : mesure le poid des admin des le PIB : [(Impots+cotisations)/PIB]x100
1918: P.O double, Margaret Thatcher fait baisser les PO ( elle privatise les services publics + reduit les allocations )
Privatiser: combler le deficit + poussé par l'Europe

Admin se financent avec les contributions obligatoires -Etat financé par l'impot ( TVA, revenu, ISF ) -Admin sociales financées par les contributions sociales -collectivités territoriales financées par les impots locaux + dotations de l'état ( commune en deficit = augmentation des impots locaux + emprunts aux banques )

recettes = recettes fiscales depenses= services ( action sociale, entretien des routes,,, ) recette →Etat → Depense → dette

Recette → region/dep/commune → depense → dette

Recette → sécurité sociale → dépense →dette → Caisse d'Amortissement de la DEtte Sociale

71 departements 82 regions augmentation des inegalités entre les regions, chevauchement de competenses, doublons, ça augmente les depenses

liberaux : l'état intervient quand le marché n'est pas efficace

biens collectifs = non excluabilité ( rivalité = tableau

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    L’État organise des services publics, dont il est propriétaire et qui bénéficient d’un monopole. Il assure un rôle de régulation de l’économie (contrôle des prix, contrôle des changes, régulation du crédit…). Il met en œuvre les principes keynésiens de réglage de l’activité économique par les politiques budgétaire et monétaire. Il encadre le marché du travail (droit du travail protecteur des intérêts des salariés, fixation d’un salaire minimum…). Il est propriétaire de grandes entreprises, mène une politique de modernisation industrielle, s’efforce de planifier l’évolution de l’économie.….

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    P comme Politique : Politique fiscal qui peut avoir une influence sur leur pouvoir d’achats, stabilité gouvernementale… La conjoncture économique de commerce extérieur. La société a un marché très dynamique qui leur permet d’être concurrentiels par rapport aux autres entreprises. E comme Economique : Les produits cosmétiques sont devenus des produits courants ; budget important pour l’esthétique (205€/an et par personne). Marché très dynamique.….

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    Les effets positifs de l'investissement public (budget général de l'Etat seulement) sur le niveau de l'investissement non-public (secteur privé et entreprises publiques) n'apparaît que pendant les années 80. Ceci peut s'interpréter par le fait que les réductions des dépenses publiques en capital n'auraient affecté, d'après le FMI, que les programmes à faibles impacts positifs sur l'économie. L'investissement du secteur privé a répondu surtout aux mouvements des taux d'intérêts et de l'inflation.….

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  • Le secteur public est-il sclérosée ?
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    Dans une économie où les échanges sont libéralisés, un pays dont les dépenses publiques sont supérieures à celles de ses voisins perd de sa compétitivité. Le maintien d'un déficit public important n'est plus concevable. Le désengagement de l'Etat est irréversible. Il peut s'effectuer en concédant une partie des activités qui lui étaient dévolues soit au secteur privé, soit à des institutions plus décentralisées. De nombreuses, privatisations (=….

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  • La politque budgétaire au maroc
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    En effet, la politique budgétaire en tant qu’instrument ne répond pas à des objectifs immuables, au contraire, elle s’adapte aux impératifs conjoncturels. Ainsi, jusqu’à la crise des années 1930, la gestion des finances publiques a eu pour seul objectif d’assurer le financement des services publics régaliens, sans évaluation de son impact sur le niveau de l’activité économique du pays. L’analyse de Keynes, postérieure à la crise, permet de voir la politique budgétaire sous un autre angle : elle devient un instrument pour atteindre l’objectif de régulation de l’économie, par le biais de la relance. L’échec des politiques de relance après la crise de 1974 ainsi que les effets néfastes des déficits publics a conduit à renverser les objectifs : la stabilisation de l’économie est aujourd’hui recherchée par l’assainissement des finances publiques et la mise en œuvre de dépenses plus efficientes. Il s’agit donc de voir comment les objectifs de la politique budgétaire ont été refondus pour répondre au nouveau contexte….

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    elle consiste à utiliser les dépenses et les recettes des administrations publiques afin de modifier l’activité économique 2 Les différents centres qui la compose − Etat : les différents ministères, collectivités locales, organismes centrales/protection social (ASSEDIC, ANPE, sécu…) − Dans les administrations publiques ne figurent pas la poste, SNCF, mutuelles… ➢ Les recettes publiques sont les « prélèvements obligatoires » • Ex : péage non obligatoire ! 2 Politique Monétaire 1 Définition − Politique monétaire = banque centrale qui détermine les conditions de financement économique ➢….

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    Il ne fa ut pas confondre le service public et le secteur public puisque les activités de service public peuvent être prises en charge par des organismes privés mais n’appartiennent pas au secteur public. Les services non marchands (gratuits ou quasi gratuits) produit par l’état sont les offres sur la santé, l’éducation et le logement, en participant à la réduction des inégalités de revenu et à l’amélioration du bien être des individus. B. L’état redistributeur La politique de redistribution consiste à soutenir les familles en difficulté financière et à assurer la possibilité à tous de se soigner.….

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    L'endettement public (résultant des déficits publics cumulés) des principales économies s'accroît pour converger autour de 75 % du PIB (graphiques 1 et 2). Cette situation traduit l'évolution de deux indicateurs inscrits dans le PCS d'Amsterdam (juin 1997) : le déficit budgétaire (rapporté au PIB) et le déficit des finances publiques. Il Principales raisons de la dégradation des comptes publics Il faut distinguer 1) Des causes conjoncturelles (crise des « subprimes» puis crise de liquidité avec ses répercussions sur le secteur du crédit, ce qui conduit l'État à lancer des plans de relance sectoriels - immobilier et automobile par exemple) 2) Des évolutions structurelles (qui s'inscrivent sur le long terme) sont à l'origine de dépenses accrues de protection sociale. Elles résultent à la fois d'une croissance ralentie et de l'évolution démographique (« l'encours de cette dette a été multiplié par 18 entre 1978 et 2008 ; sur la même période, sa part dans le produit intérieur brut (PIB) est passée de 21,1 % à 67,4 % » (document 1 par exemple).….

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    L 'avenir de la protection sociale en france qui, pourquoi, comment? evolution, quel avenir Reférences théoriques 'bismarck, beveridgien comment est faite cette protection sociale, qui bénéficie(cmu, différentes prestations) déficit social, evolution La protection sociale est l'ensemble des mécanismes de prévoyance collective qui permettent aux individus ou aux ménages de faire face financièrement aux conséquences des risques sociaux, c'est-à-dire aux situations pouvant provoquer une baisse des ressources ou une hausse des dépenses (vieillesse, maladie, invalidité, chômage, charges de famille,...). La protection sociale a donc à la fois des objectifs matériels (permettre aux individus de survivre quand ils sont malades, ou âgés, ou chargés de famille nombreuses, par exemple) et des objectifs sociaux (réduire l'inégalité devant les risques de la vie et assurer aux individus un minimum de revenus leur permettant d'être intégrés à la société).….

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    p. 71 Annexe 5. Solde des comptes publics (en % du PIB), p. 71 1. Commentez le graphique. Jusqu’en 1974, le budget de l’État est équilibré, à l’exception de l’année 1968, qui a connu une importante crise sociale puis économique.….

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  • Pb maroc
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    La politique budgétaire est une politique économique qui consiste à utiliser le budget de l’Etat pour atteindre certains objectifs, en faisant varier les dépenses et les recettes. 917, 7 milliards d’euros (soit 53,8% du PIB) ont été consacrés en 2005 aux dépenses publiques dont 387,7 milliards à la protection sociale : retraite, chômage, famille, exclusion… La politique de l’Etat dans le domaine de la création monétaire et de la politique budgétaire, fait l’objet de nombreux débats entre économistes, notamment à l’approche des élections présidentielles. Faut-il alors remettre en cause la politique budgétaire ? Après avoir défini le rôle et les conséquences de la politique budgétaire, nous verrons que celle-ci oppose toujours les économistes quant à son application, en particulier les keynésiens face aux libéraLa politique budgétaire est une politique économique qui consiste à utiliser le budget de l’Etat pour atteindre certains objectifs, en faisant varier les dépenses et les recettes. 917, 7 milliards d’euros (soit 53,8% du PIB) ont été consacrés en 2005 aux dépenses publiques dont 387,7 milliards à la protection sociale : retraite, chômage, famille, exclusion… La politique de l’Etat dans le domaine de la création monétaire et de la politique budgétaire, fait l’objet de nombreux débats entre économistes, notamment à l’approche des élections présidentielles.….

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