Critique de la théorie d’EUDOXE
Selon EUDOXE : * Le plaisir est le bien puisque tous les êtres, qu’ils soient raisonnables ou non tendent vers le plaisir et c’est ce qui est désiré au plus haut degré donc le Bien par excellence ; d’autre part si ts les êtres sont portés vers le même bien, cela signifie que c’est ce qu’il y a de mieux. MAIS, en effet, cette théorie était admise plutôt en raison de la réputation d’EUDOXE qui apparaît comme un homme tempérant. * Tous les êtres fuient la souffrance ; et donc son contraire doit ê lui, poursuivi. * Le plaisir est une fin en soi : on ne le choisit pas à cause d’autre chose ni en vue d’ô chose. Qd on recherche le plaisir, ce n’est jms en vue d’une ô fin donc le plaisir est désirable par lui-même. * Le plaisir augmente ce à quoi il s’ajoute : le plaisir qui s’ajoute à une act quelconque rend l’act plus désirable.
MAIS cela signifie juste que le plaisir est un des biens et non pas meilleurs que les ô puisque Platon mq si la vie de plaisir est + désirable étant unie à la prudence, c’est que le plaisir n’est pas le bien pcq aucun complément ajouté au bien ne pt le rendre + désirable.

Critique de la théorie de SPEUSIPPE (posi extrême)
Selon SPEUSIPPE, le plaisir ne peut pas être un bien parce que : * Les êtres ne tendent pas forcement vers un bien. MAIS Platon réfute son argument pcq c’est une croyance universelle et indéracinable : les gens raisonnables ou non manifestent tous la même tendance au plaisir. * Le plaisir et la douleur st deux mots opposés l’un à l’autre ainsi qu’au bien dc impossible de dire que si la douleur est un mal, le plaisir est un bien. MAIS Platon montre qu’en réalité la douleur est opposée au plaisir comme un mal à un bien et non comme un mal à un mal. * Le plaisir pr être un bien devait ê qqch de fixe et de permanent comme une qualité alors que le plaisir relève de l’illimité et de l’infini. MAIS Platon montre ici que ni même les activités vertueuses et