Ethique à nicomaque
Première partie : le bien suprême
Introduction :
L’objectif de la vie est le bonheur , c’Est-ce que disent la masse et les personnes de marque. Pour eux , avoir une vie de qualité ou réussir c’est être heureux.
Aristote demande ce que c’est que le bonheur ? La masse ne sait répondre à cette question et ils n’apportent pas la même réponse que les intellectuels.
Opinions sur le bonheur :
Pour certains c’est le plaisir , la richesse ou l’honneur , mais la réponse varie : par exemple si on tombe malade on va souhaiter d’avoir la santé , pour certains , il faut distinguer autre chose , quelque chose de grand qui nous dépasse.
Notre conception du bien et du bonheur découle de notre mode d’existence.
1/ le plaisir :
La masse se montre servile , préférant avoir un existence de bestiaux.
2/ l’honneur :
Les personnes de marque vivent pour l’honneur , c’est le but de l’existence politique, les gens recherchent l’honneur pour croire qu’ils sont bons.
3/ la vertu
Ce serait elle en fait la fin de l’existence politique , mais cela ne semble pas terrible car on peut ne faire que dormir et être plein de vertu mais subir les pires infortunes , là on ne peut pas dire que c’est vivre de manière heureuse.
4/ la méditation :
C’est le troisième mode d’existence . Aristote en reparlera par la suite.
5/ la richesse :
Existence vouée au profit , existence par contrainte , la richesse n’est pas ce qui est recherché car elle est utile pour autre chose.
Conclusion :
Plaisir , honneur, vertu , richesse , sont des fins car on les aime pour ce qu’ils sont. Mais on peut leur objecter beaucoup de choses. Donc il faut les laisser de côté.
Avis des philosophes amis :
Il vaut mieux examiner le bien universel,
Objection sur le bien universel :
Il ne peut y avoir de conception commune , le bien ne peut être une réalité commune car il sert à désigner beaucoup de choses.