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Voici la carte de l’Afrique qui nous montre les pays touchés par l’excision. Ca touche l’Afrique subsaharienne. Les pays en verts kaki sont les pays les plus touchés, supérieure à 85% de la population comme la Somalie, le Mali, l’Egypte…etc…
Les pays en jaune sont également touchés, entre 25 et 85% de la population comme le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Kenya …etc…
Les pays en beige sont les moins touchés (mais quand même touché) inférieure à 25% de la population comme le Niger, le Cameroun ou bien encore le Ghana…etc…
Et les pays en blanc ne sont pas touchés par l’excision.
Le graphique :
Les bâtons en bleu foncés représentent les femmes âgées de 15 à 49 ans qui ont subi une mutilation génitale féminine (MGF). Et les bâtons en bleu clair représentent les femmes âgées de 15 à 49 ans qui disent que les mutilations génitales féminines doivent continuer.
Exemple des pays à expliquer.
Facteurs culturels , religieux et sociaux :
Là où elle relève d'une convention sociale, la pression sociale qui incite à se conformer à ce que font ou ont fait les autres constitue une forte motivation pour perpétuer cette pratique.
Les mutilations sexuelles féminines sont souvent considérées comme faisant partie de la nécessaire éducation d'une jeune fille et de sa préparation à l'âge adulte et au mariage.
Les mutilations sexuelles féminines sont souvent motivées par des croyances relatives à ce qui est considéré comme un comportement sexuel approprié, c’est-à-dire que ces pratiques ont à voir avec la virginité prénuptiale et la fidélité conjugale. Selon les croyances de nombreuses communautés, les mutilations sexuelles réduiraient la libido féminine, ce qui aiderait les femmes à résister aux actes sexuels «illicites». Lorsqu'une ouverture vaginale est obstruée ou rétrécie (type 3 ci-dessus), la crainte de douleurs en cas de réouverture, et la peur que cette réouverture soit découverte, sont censées décourager les femmes d’avoir des relations sexuelles