Fabrice a waterloo (brouillon de commentaire, pas d'intro)
D’abord, on peu relever ligne 10 : »toutefois la peur ne venait chez lui que en seconde ligne ; il était surtout scandalisé de ce bruit qui lui faisait mal aux oreilles. » cette phrase plutôt absurde du fait du contexte dans lequel le héros se trouve , indique que fabrice est trop préocupé par le tapage produit par la guerre pour avoir peur .ce manque de sentiments de peur dans cette situation est renforcé par le vocabulaire employé pour decrire les victimes : »cadavres, blessés » en effet ce vocabulaire peu choquant banalise en quelque sorte les dégats que cause cette guerre alors que le spectacle des soldats agonisant au sol devrait etre horrible.
Cet banalisation des faits invite le lecteur a prendre de la distance par rapport a la scene .
On peu relever en effet de nombreuses intéruptions du dialogue par le narrateur : «nous avouerons que notre héros était fort peu héros en ce moment. » , « notre héros ,fort humain, se donnait toutes les peines du monde pour que son cheval ne mit les pieds sur aucun habit rouge. » , « fabrice s’aperçut quil était a 20 pas vers la droite (…) présicément du coté où il regardaient avec leurs lorgnettes. » . grace a ces interuptions le narrateur empeche le lecteur de rentrer dans la bataille . en plus de cela il ridiculise le héros en insistant sur le fait qu’il n’avait rien d’un héros a ce moment avec l’hyperbole : »fort peu héros », ainsi que en utilisant l’ironie avec la phrase : » « notre héros ,fort humain, se donnait toutes les peines du monde pour que son cheval ne mit les pieds sur aucun habit rouge ».
dans Cette scene la peur ne semble pas existé pour les personnages et le narrateur est amusé et distancié .ainsi,Le manque de tragique de cette guerre donne un