Fatoubanane

1040 mots 5 pages
Jules Laforgue, né à Montevideo le 16 août 1860 et mort dans le 7e arrondissement de Paris le 20 août 1887, est un poète français. Connu pour être un des inventeurs du Vers libre, il mêle en une vision pessimiste du monde mélancolie, humour et familiarité du style parlé.

Sommaire[masquer] 1 Enfance 2 Un départ difficile 3 L’Allemagne 4 Œuvres 5 Article connexe 6 Liens externes |
Enfance[modifier]Né d'une famille qui avait émigré en espérant faire fortune, il est le deuxième de onze enfants. À l’âge de six ans, il vient en France avec sa mère, dans la ville de Tarbes d’où est originaire son père. Jules et son frère aîné y sont confiés à des cousins. Entre 1869 et 1875, il est pensionnaire au lycée de Tarbes. En octobre 1876, il part vivre, avec sa famille rentrée d’Uruguay, à Paris. Sa mère meurt en couches en 1877 alors qu’il a 17 ans. Son père retourne à Tarbes tandis que Laforgue reste à Paris poursuivre ses études au lycée Condorcet. Il échoue au baccalauréat de philosophie (il aurait essayé à trois reprises). Il se tourne alors vers la littérature et la lecture des poètes et des philosophes.
Un départ difficile[modifier]Après ces études avortées, il mène une vie relativement difficile. Il fréquente le groupe littéraire des Hydropathes, qui réunit ceux qu’on appellera plus tard les symbolistes.

Portrait de Jules Laforguepar Félix Vallotonparu dans Le Livre des masquesde Remy de Gourmont (1898).
Sur la recommandation de son ami Gustave Kahn et par l’intermédiaire de Paul Bourget, il devient secrétaire du critique et collectionneur d’art Charles Ephrussi, qui possède une collection de tableaux impressionnistes. Jules Laforgue acquiert ainsi un goût sûr pour la peinture.
L’Allemagne[modifier]Au moment de la mort de son père, en 1881, il part pour Berlin, où il devient lecteur de la francophile et libérale Impératrice Allemande Augusta de Saxe-Weimar-Eisenach, grand-mère du futur Guillaume II. Son travail consiste à lire à

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