Faut-il lutter contre les cycles conjoncturelles ?
Keynes : => contracycliques (stop and go)
Friedman => procyclique I. OUI A. car les fluctuations réduisent la richesse - crise frumentaire de l’ancien régime (récolte bonne : prix baisse et inversement), tout ceci accompagner de chômage B. Quelles sont de surcroît répétitive (récurent)
- fluctuations des cycles d’étau de Juglar, innovation de Schumpeter
- ex : faillite bancaire au XIX et les krach
- imperfection du marché, asymétrie d’information (Akerloff), Phelps, C&A : l’accélerateur. C. d’où la nécessité de politiques anti ou contracycliques.
- keynésienne (stop and go) qui font référence à un output gap (PIB potentiel, l’écart entre économie réelle et ce qu’elle aurait pu potentiellement être en PIB) d’où une relance des politiques keynésiennes par une politique budgétaire déficitaire avec son effet multiplicateur d’Ivt ou au contraires des politique de stop and go en période inflationniste
A priori, il apparaît légitime de lutter contre les cycles conjoncturelles
II. Mais A. mais existence de stabilisateurs automatiques.
-Si l’activité ralentie, les recettes également se réduisent ce qui crée automatiquement un déficit budgétaire.
- de même la protection sociale avec l’augmentation des chômeurs va accroitre les dépenses publiques
- l ‘économie reste toujours en équilibre : (FRISCH : le cheval à bascule, force de rappel de RICARDO, loi de SAY, TCR)
- choc monétaire, choc stochastique, souvent à l’équilibre
B. Mais de peu d’utilité dans une économie mondialisé
- expérience négative de MONROY en 1981 , politique de relance avec augmentation des salaires
- politique keynésienne : on s’endette pour relancer la croissance
- A l’heure actuel, les capitaux vont et viennent d’un pays à l’autre C. Ou alors dans le cadre d’une économie européenne
Mais problème des déficits budgétaires, de l’absence de politique coordonnées :> l’Europe