Femmes africaines immigrées et travail du sexe
Femmes africaines, migration et travail du sexe
La mobilité des populations est une constante de l’histoire de l’Afrique et ceux dès le XVème siècle.
L’amplification des flux migratoires clandestins entre les pays d’Afrique et les pays européens est un des traits caractéristiques des processus migratoires de l’époque contemporaine. Au point où l’immigration clandestine ne constitue plus aujourd’hui un épiphénomène.
La migration clandestine ne se réduit plus aujourd’hui à une « affaire d’homme », mais elle s’est élargie et elle est devenue un processus complexe au sein duquel les femmes sont aussi une composante essentielle est spécifique. Depuis toujours le continent africain a été au cours de son histoire un vaste territoire de la migration, ce qui préoccupe de nos jours ce n’est pas simplement l’émergence de ces flux mais la diversification et l’entrée de ces femmes dans la sphère migratoire dites « illégales ».
Le document que nous avons est un article intitulé « Femmes africaines, migration et travail du sexe », cet article est disponible sur CAIRN. Il a été publié en janvier 2008 dans une revue nommé «Société ». L’auteur de cet article est Françoise GUILLEMAUT.
Françoise GUILLEMAUT, doctorante de l’université de Toulouse, est une sociologue française. Sa thèse de doctorat porte sur les « Stratégies des femmes en migration : pratiques et pensées minoritaires repenser les marges au centre. » Elle est également chercheuse et est rattaché au laboratoire LISST-CERS, un laboratoire à large couverture thématique associant spécialistes de la ville (en l’occurrence Toulouse), sociologues et anthropologues. Le Centre d'études des rationalités et des savoirs.
Françoise GUILLEMAUT, aborde dans cet article le thème de la migration des femmes africaines. La prostitution est un fait social inévitable, c’est un « métier » exercé par une personne qui, dans le but d’en tirer des moyens d’existences loue son corps