Fenêtres d'un passé simple

4456 mots 18 pages
Fenêtres d’un passé simple

Avant-propos

« Pourquoi écrire ?...chacun a ses raisons : Pour celui-ci l’art est une fuite, pour celui-là un moyen de conquérir »

J.P.Sartre

…Certains écrivent pour devenir célèbres, d’autres parce que c’est devenu pour eux une profession, d’autres pour critiquer…

Quand j’écris? je sens l’écriture comme un besoin irrésistible qui m’envahit, une envie incessante d’extérioriser mes craintes, mes peines, mes chagrins, mes joies et mon bonheur de décrire toutes mes sensations et les contradictions qui perturbent mon esprit.

J’écris quand je me sens vidée de toute force, pour étaler sur un papier tout ce qui fait souffrir mon âme, faire table rase de tous mes maux ; c’est une sorte de thérapie dont on a toujours besoin pour acquérir le soulagement et la sérénité.

L’écriture est -aussi pour moi-une porte ouverte sur un autre monde parfait, tissé par le fil de mon imagination, un monde où je me réfugie quand je me lasse de ce monde cruel !!

Quand j’écris, je me sens apte à défendre mes principes et mes convictions et montrer mon indignation à l’égard de tout ce qui est injuste.

Peu importe la qualité du style, ou la finesse des mots, l’essentiel c’est d’utiliser l’écriture pour réagir face à tout ce que nous vivons, et de faire part de nos expériences pour que les autres puissent les méditer…

Nos souvenirs nous parlent, mais nous ne les écoutons pas. Bons ou Mauvais ils sont liés de façon inalinéable à notre personne la plus profonde. Ils sont les gardiens de notre temple intérieur.

La règle d’or est simple : Ecrivez spontanément un souvenir d’enfance, le plus ancien possible ,sans réfléchir ni censurer !!

Aux nostalgies de ma famille et de mon lycée d’avant, j’offre toutes ces pages pleines de souvenirs.

Fenêtre 1 : Mes parents

Je n’ai laissé briller sur mes souvenirs d’enfance qu’un grand soleil…

Si je parle de mes parents, je parle précisément de mon asile le plus sûr : le sein consolateur de ma

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