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ppppppppppppppppppÉveil des consciences sur la peine de mort et le rôle de l’État dans l’éducation du peuple ; le lecteur trouvera en Claude Gueux un véritable guide moraliste. L’effet produit est celui d’un miroir qui refléterait l’affligeante vérité des classes ouvrières.
La nouvelle prend des allures de brasier, le peuple brûle, l’État l’encourage. L’énergie d’activation est la véhémence du ton de l’auteur, engagé contre la misère. La peine de mort est signe de déclin, d’une société qui croit progresser en encourageant le peuple au vice.
Pour l’auteur il faut agir en amont du problème, soit investir dans le peuple par l’éducation. Enfin, une note est introduite au début de la nouvelle, il s’agit d’une lettre où il est dit que Claude Gueux aurait été distribuée aux cinq cents députés de France de l’époque. L’auteur semble vouloir mener les esprits vers une société avec laquelle le peuple pourra aspirer à une vie meilleure.
La structure schématique de la nouvelle repose sur trois parties distinctes.
Avant la prison (p.11), cette première partie introduit le personnage de Claude Gueux, profil d’un homme puni, qui a voulu garder sa dignité de père face à son enfant. Ce qui en résulte, cinq années à la maison centrale de Clairvaux ; comme énoncé précédemment, le cadre choisi pour la nouvelle correspond à celui de