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De plus cette partie nous révèle la misère du déporté, misère « cachée » au monde extérieur. Certains sont effectivement au courant de ce qui se passe dans le camp mais préfèrent se taire. En effet, l’homme libre ne veut pas savoir l’existence du camp même s’il en a tout de même la capacité, la possibilité, par lâcheté ou par peur. De telle manière que finalement il se contente d’accepter ce fait. Il se fait ainsi le complice du SS, en étant autant coupable que lui. Quant au déporté son espoir s’affaiblit progressivement jusqu’à s’éteindre dans la mort. Mais à la fin de cette première partie, cet espoir commence à renaître avec l’arrivée des alliés