Fiche lecture
L’avant propos de Liane Mozer est exellent, mais malheureusement je ne m’en souviens plus.
Pour ce qui est du premier chapitre, l’auteur explique le développement de la division sentiments moraux et morale rationnel. Pour ce faire, elle montre un parallèle entre le dévelloppement du marché capitalste corrupteur, et le besoins de conserver un nminimum de morale contextualiste à l’aide du foyé, dernier rempart contre la cupidité du marché. Elle montre comment la morale kantienne, qui domine encore aujourd’hui est une morale minimaliste permettant les échanges commerciaux. Alors que les philosophe des lumière écossaises, mettent en avant une morale contextualisé, nettement plus maximaliste. Les penseur suivent l’intérêt de leur temps et les questions qui le traverse. Elle remet en cause, la théorie essentialiste de la morale des femmes, puisqu’elle était aussi l’attribut des hommes pendant les lumières écossaise. Au XVIII ème la femme occupé l’espace privé et les sentiments moraux imcobé à l’espace privé (la famille)
Les femmes seraient donc un rempart contre la corruption de la sphère publique.
Lumière écossais mettent en « lumière » la relation entre vie morale et vie politique.
La morale des lumières écossaise permet de mettre à distances les autres cultures et morales (pratiques de la morale), alors que la morale kansienne universaliste nous rend résponsable des barbary de l’homme.
Nous devons donc accépter de porter les crime des autres. L’auteur suggère donc que la sollicitude doit donc être porté non pas par un groupe mais bien par