Fiche révision : emile ou de l'éducation
Introduction :
Jean Jacques Rousseau, est un des pères spirituels de la Révolution française. Son œuvre en temps que écrivain a fait l’objet de nombreuses polémiques en son temps. Il a notamment écrit la nouvelle Héloïse (en 1761), le Contrat social ( en 1762) ou encore Emile ou de l’éducation. Justement nous allons voir dans Emile, comment Rousseau parvient il à persuader des intérêts d’une pédagogie plus « concrète, pratique, basée sur l’expérience » ? Nous étudierons cette question en deux temps, le premier s’attachera au blâme d'une éducation traditionnelle, et le second au rôle du dialogue ou de l'enseignement par les actes.
Plan : Blâme d'un éducation traditionnelle.
A) Par le biais de l'ironie → Antiphrase « Quel beau discours je vais lui faire », « belle éduaction » → Moquerie de l'auteur.
B) Et en se montrant persuasif → Impression de vécu « Quand j'aurai tout dit, j'aurai fait l'étalage d'un vrai pédant, auquel il n'aura pas compris à quoi sert de s'orienter » + utilisation du « je ». → Utilise des exemples précis « cadre réaliste » (élève et maître nommé)
« Jean-Jacques et Emile ».
II) Le rôle du dialogue ou l'enseignement par les actes.
A) Par le biais d'un registre didactique → délivre un enseignement soutenu par un exemple illustratif. → exemple de la forêt dans ce texte. → ce procédé permet de convaincre le lecteur.
B) Pédagogie qui se veut utile. → « soyez sur qu'il n'oubliera de sa vie la leçon de cette journée » : mise en situation marquante, avec ici la forêt. → leçon de vie : enseignement de l'autonomie grâce à des exemples concrets. → parle et met l'élève en action : « Il ne s'agit pas de pleurer, il s'agit de reconnaître ».
Conclusion :
Nous avons donc vu à la suite de cette démonstration que l'auteur cherchait ici à ironiser l'éducation traditionnelle pour ainsi présenter la sienne, qui se montre selon lui plus efficace et plus illustrative. Elle se veut donc utile