Fin de partie
« Regarde la mer » (p.44), « regarde l’océan » (p.44), « horizon » (p.45), « mouettes » (p.45), « flots » (p.45), « prépare-moi ce radeau » (p.50) ce champ lexical de la mer propage un sentiment d’éternité, d’infinité. Les fenêtres sont donc un moyen de rêver à une certaine liberté en créant une rupture avec l’intérieur de la maison qui lui est « Mortibus ». Ainsi les deux personnages côtoient cette forme de liberté sans pouvoir vraiment la saisir. « Amène-moi sous la fenêtre » dit Hamm p.83, là aussi on comprend que les fenêtres sont le motif d’occupation de Hamm, il veut « entendre la mer » (p.85) Il y accorde d’ailleurs