finance islamique
Malgré, que les sociétés des pays non musulmans sous-estiment cette religion et cela due à leurs préjugés à cause des idées limitées aux concepts de l’islam. Pourtant, la bonne réputation de l’islam a resté solide en terme financier, la chose qui a poussé les pays musulman à faire appel à tout ce qui se base sur des concepts proprement islamiques dans des différents domaines économique, politique et social… etc. La justice, l’égalité et la clarté de l’islam ont permet l’évolution marquante de la finance islamique en Egypte et ainsi dans quelque pays du Golf.
Au niveau national, le Maroc a échoué en matière de finance islamique, la commercialisation des produits alternatifs et l’expérience de 2007 a été très décevante. La commercialisation de ces produits ont connu pas mal d’obstacles qui ont empêché la finance islamique de se développer. Le résultat de cette finance est trop faible (les nouveaux produits n’ont pas dépassé 1 milliard de dirhams d’encours compares à 730 milliards à d’encours conventionnels en 2012) et cela due à des produits alternatifs qui ne répondent pas aux conditions de marché marocain. Ainsi que l’absence d’une loi relative à ces produits appelés alternatifs, ces produits n’ont pas résisté à la concurrence déloyale des lobbies bancaires.
D’ailleurs, le gouvernement a lancé un projet de loi N 103-12 relative aux établissements de crédits islamiques. Cela vient après une forte demande de la population marocaine, ainsi que les propositions des banques islamiques du Golfe qui désirent s’introduire au sein d’un marché vierge et attractif. Mais la question qui se pose : Est-ce que les marocains sont prêt de migrer d’une banques conventionnelle vers une banque