Foot et jeunesse africaine
C'est l'histoires des ces jeunes africain virtuoses du ballon rond appelé "Les Black Diamons" issus pour la plupart de L'Afrque de L'ouest en particulier la francophonie "Côte D'Ivoire Sénégal Cameroun Guinée et Ghana abusés qui servent de monnaie d'échange pour satisafaire les besoins " avides" de clubs et d'agent mal attentionnés
C'est l'histoire d'une traite doublée d'une exploitation d'etre humains qui se passent devant les yeux des instances internationales
Ainsi De nos jours le football constitue une forme d'esclave
Le marché du foot afrcainest un marché sans fin qui se comptabilise en quantité et en qualité. En général, le joueur africain a une valeur marchande inférieure à celle d'un européen ce qui constitue un fondement de l'esclave moderne.
Pour le géographe Raffaele Poli, chercheur au Centre international d'étude du sport (CIES) de l'université de Neuchâtel, en Suisse, et spécialiste des migrations internationales des footballeurs, les joueurs africains sont victimes d'un système purement spéculatif. "Le footballeur africain est une matière première qu'on va chercher dans l'espoir de la qualifier pour la revendre plus cher, explique le chercheur. Pour accroître leur valeur, poursuit-il, on fait d'abord transiter les footballeurs africains par des championnats de troisième (Roumanie, Albanie, Chypre, Malte) puis de seconde zone (Suisse, Belgique ou Pays-Bas) avant de les revendre aux grands clubs professionnels." Le géographe relève par exemple que les Ghanéens sont surreprésentés en Roumanie et les Nigérians en Albanie. En 2003, les joueurs africains représentaient 20 % des 5 000 étrangers évoluant dans des clubs professionnels ou semi-professionnels européens. "Au niveau européen, les joueurs sont utilisés comme une main-d'œuvre bon marché et subalterne." Récemment, le club de l'Ajax Amsterdam a été condamné à une amende de 10 000 euros par l'inspection du