Francophonie
Il acquiert son sens commun lorsque, quelques décennies plus tard, des francophones (les écrivains de la langue française) prennent conscience de l’existence d’un espace linguistique partagé, propice aux échanges et à l’enrichissement mutuel.
Suivent les journalistes regroupés en 1950 au sein de l’union internationale des journalistes et de la presse de la langue française.
Le terme ne réapparaît que dans les années 60 quand plusieurs pays africains accèdent à l’indépendance.
Au 1960, des personnalités comme Léopold Sédar Senghor, Habib Bourgiba et Hamani Diori proposent de regrouper les pays nouvellement indépendants sous la première institution intergouvernementale francophone ; et désireux de poursuivre avec la France des relations fondées sur les affinités culturelles et linguistiques.
Le 20 mars 1970, lors de la conférence de Niamey et à la présence de 21 états et gouvernements, qui ont crée l’agence de coopération culturelle et technique (ACCT) fondée autour du partage d’une langue commune, le français et le mettre au service de la solidarité, ainsi la diffusion culturelle et technique.
Les trois pionniers qui ont ouvert une voie nouvelle ont réussis finalement à transmettre leurs enthousiasmes et à faire adopter leurs convictions.
Avec l’ACCT, la coopération s’engage dans les domaines de la culture et de l’éducation, aussi la production audiovisuelle qui a favorisé la réalisation de 1400 œuvres de cinéma et de télévision. Sans oublier les prix littéraires, notamment celui du prix des cinq continents de la francophonie qui consacre chaque année un roman de la langue française. Tous ses éléments ont participé à l’affirmation de la francophonie dans la sphère littéraire. En 1979 et à l’initiative de Jaques Chirac, maire de Paris, les maires des capitales et