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French 419 juin 4, 2004
« Comparaison de deux pièces par Molière » Le rôle de la jalousie est très important dans « L’École des Femmes » et dans « Le Misanthrope ». La jalousie est plus dominante dans les rapports amoureux que dans les autres types de rapports. La lutte de puissance est essentielle chez Molière et la jalousie est le résultat des rapports inégal. Le vrai amour est quand deux personnes trouvent l’égalité dans leur rapport. C’est quand une personne ne veut pas profiter de l’autre. Mais, tous les rapports importants dans ces pièces sont l’amour prétendu où le but est d’être égoïste et d’avoir le profit personnel. Il y a une lutte entre les concessions de part et d’autre. Une personne dans ce type de rapport a besoin d’être la plus puissante, et l’autre, le plus naïve des deux, souffrit parce qu’il donne trop de la générosité et il tolère les mauvaises qualités de son amant sans protester. La jalousie est la manifestation de la peur qu’ici les personnages ont quand ils leurs trouvent dans une situation où ils n’ont pas du contrôle. Une personne est jalouse du pouvoir de l’autre pendant que l’autre personne est jalouse des actions du monde environnant leur prix précieux, leur amant, et le fait que les autres peuvent changer cette personne. Dans « L’École des Femmes », il y a seulement un personnage, Arnolphe, qui est consumé par cette faible émotion. Horace montre qu’il y a des temps où il est jaloux, mais, différent d’Arnolphe, cette émotion ne règne pas son cœur. Pour Agnès, on ne sait pas si elle est jalouse parce qu’il n’y a pas assez de développement de cette personnage. La jalousie d’Arnolphe est le produit de sa peur d’être cocu. « Dont, pour nous en planter, savent user les femmes, Et comme on est dupé par leurs dextérités ; Contre cet accident j’ai pris mes sûretés, » [1]
Cela augmenter pendant la pièce. L’arrivée d’Horace et les surprises qu’Arnolphe découvrit avec Agnès, ainsi que sa