Freud, psychologie (religion et science)
Ainsi, à travers un discours direct légué par la religion, Freud cherche à savoir, dans la mesure où cette institution se proclamait non porteuse d’une vérité de la raison mais d’une autre qui par la foi leur donnerait un sens à leur existence, si elle perdrait toute influence sur sa masse.
Devant la montée en flèche et l’émergence des sciences, la religion est largement critiquée depuis que l’esprit des lumières songe à donner un nouveau sens à l’univers.
D’ailleurs, c’est ce que souligne Freud dans la phrase d’attaque de son texte : « pourquoi la religion met elle pas un terme à ce combat sans espoir pour elle » ? En effet, face à l’émergence des connaissances et du savoir, la religion n’est forcément gagnante car dépourvue de preuve et d’expérimentations, de ce qu’elle affirme. C’est ce que souligne le prêche dans son discours en assumant le fait que la religion ne peut pas apporter une justification à tout ce qu’elle apporte, qu’elle ne peut pas le prouver et qu’elle laisse place à la science dans perspective : « C’st exact que je ne peux pas vous donner ce que l’on appelle d’une façon générale la vérité, pour cela, il faut vous en tenir à la science ».
Par contre, malgré cela, la religion apporte satisfaction au désirs les plus profonds des individus et ce à condition d’avoir foi en le Divin. De ce fait, cet apport personnel de la religion est incomparablement plus beau, plus consolant et plus exaltant que tout ce qu’on peut recevoir de la science. En effet, l’être humain, est très orgueilleux, fragile, et influençable, ce qui le rend susceptible parfois à préférer le beau, le bon, la douceur, soit tout ce qui est subjectif à la raison, qui prône l’objectivité suprême. Ainsi, la différence