Froide carapace
Je souhaite devenir policière, c'est se que prouve mes gènes, je suis forte, déterminée, fonceuse, rien ne m'arrête.
Je marchait dans mon quartier de Montréal dans le parc du coin avec mon fidèle compagnon. Il était vers les heures du lendemain. La lune éclairait des feuilles oubliées. Des pas, ayants une dominance et une emprise sur le chemin me suivait poussivement. Je sentait mon souffle se hâter, mon animal était évasif. Je me souvenait de la publication auquel un visage puissant au regard intensif était afficher sur les murs du métro. Un homme sanglant. Je me retournait finalement, j'étais solitaire, dans la noirceur de l'hiver.
J’enfilais mon pyjamas, je sommeillait maintenant dans un sommeil léger et éthéré. J’entendais maintenant un bruissement claquer sur ma fenêtre de chambre. Je me levais en ayant frôler mon rideau, j’aperçus l'homme. À pas précipiter dans les escaliers, je dévalais vers mon sous-sol, fouillant dans le coffre de mon père, je pris son précieux bâton télescopique. Je flanquait vers ma porte d'entrée, l'ouvrit et aperçu des paroles futuristes, le sang pur d'un guerrier, étamper dans la neige. Ma destinée. Vêtements léger sur le dos, à pas de course, je me dirigeais vers le parc, là ou l'homme occulte aurait peut-être pris fuite.
Lorsque j’étais petite, mes parents avait gravée dans l'asphalte non sèche, mon nom. Adolescente que j'étais, cherchant un réconfort au froid camer, je marchait vers l'écriture en dessous du banc du parc. Les visions du passés heureux m'amenait vers des fins en détresses. Je prenait ma revanche sur le meurtrier inconnu. Deux petits bambins tambourinait sur ma deuxième compagne à carapace. Ils étaient armées de petits os de poulets, ceux que l'on utilise pour faire un serments de rêves de jeunesses lointaines. Sur leurs chétives épaules était arc-bouter l'homme. Un sourire narquois m'était adresser.
Le sang fluide et non vécu du reptile coulait, faisant fondre la neige, atteint la