Garcin, comme on le voit dans Huis, est pragmatiquement différent du personnage d'Antigone dans la pièce Antigone de Jean Anouilh. Antigone dit à plusieurs reprises pendant l'émission qu'elle veut mourir ! Mais la mortalité d'Antigone n'est pas due à la futilité ou à l'ennui de la vie. C'est un pragmatique pragmatique et centré sur la mort. Antigone sait que l'enterrement de son frère est la mort, mais elle n'enterre pas son frère pour qu'elle meure. Au contraire, elle tient tête à Créon parce …afficher plus de contenu…

La mort d'Antigone n'est pas pour lui un événement, mais un choix et une action. Pour vérifier cette discussion, les phrases suivantes sont dérivées du texte: « Vous pouvez seulement me faire mourir» Ex: (v.74), « Je suis là pour vous dire non et pour mourir.» Ex: (v.82), « Je vais mourir tout à l'heure.» Ex.: (v.110)Garcin, quant à lui, préfère s'enfuir lorsqu'il se sent menacé et que sa vie est en danger. Bien que Garcin passe toute sa vie à essayer d'être un homme bon et un homme, il ne peut finalement pas sacrifier sa vie pour le pragmatisme. Il ne se souciait pas de l'argent et de l'amour pour être une bonne personne, mais il ne fait rien quand il en a besoin. Par exemple, d'autres personnages de la pièce lui disent « Et puis, à l’heure du danger, on t’a mis au pied du mur et… tu as pris le train pour …afficher plus de contenu…

Le point étrange et brillant du texte d'Anouilh est que le Créon indésirable devient une échelle pour qu'Antigone puisse monter ! Quant Antigone veut abandonner la lutte qu'il a commencée, les paroles de Créon sur le bonheur le ramènent soudainement dans l'arène de la lutte. Le protagoniste, qui au début de la pièce était dépeint comme une femme solitaire, maigre et impuissante et a suscité la sympathie du public, à la fin de cette scène, elle atteint un tel pouvoir que le public est fier d'elle et, contrairement à elle, maintenant c'est Créon qui est tombé du trône de l'autorité suscite la pitié de