DM HLP goethe Dans l’ouvrage de Jean Jaques Rousseau, Les rêveries du Promeneur
Solitaire, Cinquième Promenade, met en valeur les différents traits de sa personnalité : observateur, minutieux et le promeneur solitaire à la recherche d’un asile. Il fait correspondre ses sentiments avec le paysage, l’eau et le sentiment de mélancolie. Cependant, il est charmé par ce paysage ravissant et est plongé dans une contemplation de la nature qui le mène progressivement à la rêverie. La rêverie qui …afficher plus de contenu…

Puis dans un second moment, nous analyserons l’utilisation de la nature par Werther.

* Les romantiques cherchent dans la nature une forme de communion. Elle nous fait penser à la communion religieuse.

La nature a une place divine dans ce livre. À la ligne 41, la périphrase
« l’Esprit de l’Éternel Créateur » désigne la nature. On lui attribue une vie divine comme un dieu. En rattachant le divin à la vie, Goethe nous fait une référence au panthéisme, la vie devient objet du divin. L’homme fait partie d’un plus grand tout, un tout créateur et divin. Ceci s’accorde avec l’infini de la nature.

De plus, elle est vue comme l’infini. On le remarque par les …afficher plus de contenu…

Mais aussi dans la taille qui montre le sentiment d’immensité : « « volupté » (l.6 et 45), « lointaines » (l.10),
« grands » (l.12) et « énormes » (l.29). Goethe prend conscience de son insignifiante taille dans l’infini, le divin. Il prend conscience de ses limites, et c’est en cela que la nature inspire les sentiments tels que la mélancolie, ou au contraire l’enthousiasme avec le désir ardent de dépasser ses limites.

Pour l’auteur, la nature a une place très importante. Elle est un l’infini, le divin. Il en a donc une conception panthéiste. Or cette conception lui sert-il à s’échapper ?

* Le personnage se trouve dans une période de tourments et de souffrance.
Il cherche à soigner sa douleur grâce au réconfort de la