Guerre Froide
Seconde, socle commun ?
Une proposition : raconter et expliquer lors des séquences sur la guerre froide et la décolonisation.
Programme, vade-mecum des capacités, socle commun.
Donc deux exemples à étudier, l’un en Europe, l’autre sur un autre continent pour changer d'échelle. La carte semble servir lors de la mise en perspective, donc en fin de chapitre.
Ici, choix de l'avancer, pour permettre une activité autonomie des élèves. Raconter : les récits historiques
Récit du professeur
Récit de l’élève.
« Il convient de donner une place au récit proprement dit. Tout ne doit pas partir systématiquement du questionnement sur des documents.
Le professeur peut raconter lors de son cours : le recours à l’anecdote, à la biographie d’un personnage, à la description de la vie quotidienne d’un individu peut être un levier très utile pour intéresser les élèves et leur faire saisir une réalité.”
« Il lui permet de restituer ou de mobiliser des connaissances de manière construite et réfléchie, en respectant l'ordre chronologique des faits, et en les expliquant. L'élève raconte l'histoire mais n'invente pas une histoire. »
Récit comme
« support pédagogique ».
Récit comme « production écrite ou orale ».
Intègre des données explicatives
Mise en intrigue et bornage chronologique
Articulation d’échelles temporelles différentes pour expliquer et interpréter S’énonce au présent
(par convention et
« distance »)
Le récit historique Doit donner du sens à un événement, à une situation, une période historique Mise en scène d’acteurs individuels ou collectifs, concrets ou abstraits
Implique des justifications des faits, des explications, des arguments (contrairement à la narration littéraire)
D’après le Vade-mecum des capacités en histoire-géographie.
Une démarche problématisée (éviter d’exhaustivité, sens) Toujours associée