Guillaume apollinaire (1880-1918)

D’origine polonaise. Il a vécu son enfance sur la cote d’azur. Il ne fait pas des études très brillantes. Son premier contact avec l’écrit est la fondation d’un journal manuscrit (Anarcho-symboliste) il accompagne sa mère qui s’installe a paris et de là il trouve un emploi de précepteur en Allemagne. Il tombe amoureux d’une jeune fille anglaise mais la réciprocité n’était pas là. Ces deux expériences sont très marquantes.
Il retourne a paris en 1903 et retourne dans les milieux littéraire. Il se rend compte qu’il a une jolie plume alors se lance dans un type de roman (les romans érotiques). Il se spécialise dans les ouvrages libertins. Il rencontre une femme peintre Marie Laurencin ce qu’il lui permet d’être ami avec les grands peintres. Il devient le défenseur de l’art nouveau. En 1909 il produit une œuvre poétique en prose prénommée « l’enchanteur pourrissant » qui est une vision des légendes oxydentales. C’est un ouvrage qui apparait comme inspirateur du surréalisme. On sent dans sa poésie le poids du mystère de l’origine, le secret des pouvoirs de l’enchanteur poète et les forces vives de l’amour.
En 1911 il est inculpés de recèle d’objets volés dont la Joconde. Cela le déstabilise et a peur d’être expulsé. Sa liaison avec Marie Laurencin il écrit un essai théorique consacré a l’art contemporain et il fait paraitre le recueil « alcools » c’est écrit entre 1898 et 1912. C’est un ouvrage composé a la manière d’une toile cubiste. Il juxtapose des évocations et des sensations appartenant a des registre temporels et culturels différents. Il libère la poésie de la ponctuation. Les vers sont libres mais les rimes sont au moins sauvegarder par l’assonance. Pour la première fois la poésie atteint les frontières de l’illimité et de l’avenir sur l’ensemble du recueil d’alcools la variété des thèmes et des aspirations culturelles en fait un ouvrage de beaucoup de richesse. Il y a du François Villon chez apollinaire. Il est très