Génaration zouglou
L’Afrique citadine qui danse I. A propos des danses d’Afrique :
Dans les années 40, il y avait des orchestres (était joué par des musiciens locaux mais essentiellement joué pour des européens).
On parlait de musique High-life, dès les années 20 aux années 60, joué dans des salles interdit aux indigènes. (Gens à haut moyen). Ce high life donnera l’afrobeat. Dans les années 70, nouvelles musiques provenant de l’Afrique centrale c’est la rumba congolaise et la salsa. Un des grands musiciens de l’époque Mr Taboulet, chefs de file, plus grand musicien de rumba Congolaise. Elle va avoir des variantes. (Plus rapide).
Kwassa kwassa musique et danse. Ex : On danse comme on conduit une voiture. Les pas, sont tirés du quotidien.
Coupé- décalé, c’est un mode vestimentaire. On s’habille riche même si on ne l’a pas.
La danse moderne est de la ville. Mais la danse traditionnelle qui inspire les mouvements artistiques est du terroir, c’est-à-dire du village. Les danses traditionnelles des sociétés paysannes, sont des danses d’origines réjouissances qui accompagnent la fin des récoltes ou certains rites funéraires, initiatiques ou de fertilité. On danse dans les villages comme ont piles le mille, comme ont pique le riz, tous cela au son des instruments traditionnelle comme le jumbé. Aujourd’hui on observe les danses modernes africaines on se rend compte que ces gestes demeure. On peut dire qu’il y a la fusion des 2 mondes entre les danses des anciens et des jeunes.
A chaque période à sa danse. De nombreuses danses ont émergés dans les villes africaines : * A l’époque de l’indépendance : période high life Galéen, à l’origine des orchestres qui se produisé dans des salles seulement accessibles aux gens aux élites. * Le cha cha cha et les rythmes afro cubain constituant les danses de couples. * Dans les années 70, Le high life Galéen dérivera sur l’afrobeat. Mais surtout apparait la rumba congolaise qui constituera la ba se des musiques