Génération identitaire
L’identité nait de la filiation et de la transmission, c’est le socle des traditions populaires et orales (dont la langue), les coutumes et les mœurs, l’acceptation d’un passé commun (l’histoire) et la volonté de vivre ensemble dans l’avenir. L’identité, c’est une certaine façon de fêter la vie, d’honorer les morts, de regarder le monde et aussi de le conter, ce qui suppose une mémoire commune.
L’identité d’un peuple est ce qui le rend incomparable et irremplaçable. Car l’identité, c’est à la fois ce qui fait que des hommes se ressemblent (et donc selon la loi naturelle indéniable se rassemblent) et ce qui différencie un homme d’un autre, un peuple d’un autre.
L’identité défendue par les Identitaires est plurielle et s’articule en plusieurs niveaux : l’identité charnelle (régionale), l’identité historique (française) et l’identité civilisationnelle (européenne). Pour nous, ces identités sont complémentaires. On peut donc, par exemple, se sentir à la fois Breton, Français et Européen, ou Dalmate, Croate et Européen ou encore Bavarois, Allemand et Européen. Chacune de ces identités renforce l’autre et constitue un ensemble organique cohérent.
Défendre l’identité par tous les moyens
Parce que l’identité constitue un facteur important d’équilibre personnel aussi bien que social. Les sociétés, comme les individus, s’épanouissent pleinement lorsque leurs identités sont fortes et respectées.
En outre, des identités solidement établies sont source de richesse dès lors qu’elles permettent un enrichissement mutuel entre des peuples et des cultures différentes.
Or, aujourd’hui, la mondialisation, le développement des échanges non régulés et les migrations massives de population mettent en danger les identités européennes.
Partout dans le monde, l’heure est au réveil des identités. De la Croatie à l’Ukraine, de la Flandre à l’Inde, du Tibet à la Somalie ou à la Bolivie, les peuples et les ethnies cherchent à affirmer leurs particularités…