Histoire de la musique Renaissance
Musique de la Renaissance profane est extrêmement utilisée.
Chansons de cours (glorifier le roi), exaltation de la chevalerie..
Complexité rythmique très importante, variation des formules rythmiques. Modèle de chanson pittoresque de l'époque.
A Paris se créer une académie de Baïf (un salon) ainsi qu'a Florence avec la camerata Bardi
On essaye de retrouver une musique mesurée à l'Antique, onomatopées inintéressantes.
Claude Lejeune écrit des musiques à quatre voix.
Le madrigal → distraction italienne.
Lamentation de l'amour perdu, contemplation de la nature..
Texte italien ou espagnol, mise en valeur du texte, des sentiments.
Le musicien écoute la musique qu'il fait et ne joue plus pour intérêt.
Caractéristiques communes :
Texte poétique fondamental, musique soumise au texte (respect forme vers et leur accentuation), volonté de séduire, s'adresser à l'auditeur (gestes, sentiments..)
Importance des mélodies (partie supérieure prend l'autonomie).
Possibilités de doublures instrumentales (publication de tablatures de luth ou de clavier)
Voix de ville → les chansons polyphoniques qui sont éditées dans des recueils très chers, puis décliner grâce à l'achat de certaines parties, celles du haut en principe, tout seul ou à plusieurs.
Mélodies à voix nue au départ. Syllabique texte très simple.
Art de la diminution consiste à remplir les valeurs longues.
Tablatures permettent d'utiliser moins de papier et au « mauvais » lecteur de jouer.
Développement de l'édition :
Grand imprimeur à Venise → Petrucci, il créé des tampons pour remplacer la gravure.
Il peut vendre moins cher et produire plus.
Pierre Attaignant imprimeur du roi en 1531. Il à le monopole d'impression à la cours.
A Lyon les pouvoirs locaux sont très important et le roi à tendance à les protéger, ils ont donc le privilège de pouvoir imprimer eux aussi.
Jacques Moderne va d'ailleurs favoriser l’émergence des compositeurs protestants.
Multiplication du nombre d'éditeurs car besoin de