histoire du capitalisme
L’irrésistible montée du capitalisme industriel (1800-1870)
Est mis en lumière le travail productif : celui qui va degager un surplus, moyen de produire à une échelle élargie.
Une logique capitaliste de production :une production d’une masse toujours plus grande de marchandises et une exploitation d’un nombre croissant de travailleurs ; accumulation vertigineuse de richesses, à un pôle, élargissement et aggravation de la misère, à l’autre. Cette logique s’impose avec de plus en plus de force à des secteurs de plus en plus larges de la société. Donc on a une double progression, de la richesse et de la pauvreté.
Une nouvelle génération de manufacturiers, de fabricants, de l’indutriels s’affirment et la bourgeoisie indutrielle constitue une couche sociale cohérente.
Est dénoncé l’inégalité.
Dès le début du siècle sont formulées deux visions utopiques : la vision libérale et le socialisme qui l’une et l’autre promettent le bonheur de chacun dans un monde harmonieux. Selon l’« utopie » libérale avec la loi de l’offre et de la demande en concurrence pure et parfaite, on assure l’équilibre éco et l’équilibre entre les classes de la société (propriétaires foncières, posseseurs des capitaux et travailleurs), une libre initiative et un libre jeu de marché. Ainsi, face à elle se dépolie l’utopie socialiste (le bonheur humain est assuré par une organisation adéquate de la socété).
L’une des bases idéologiques de la pensée éco était : produire c’est accroitre l’utilité, et 3 facteurs de productions s’occurent : travail, capital, terre
L’industrie mécanisée provoque une extension du mode de production capitaliste. C’est une prolongation du mouvement engagé en Angleterre, mais cette fois on a connu une industrialisation capitaliste à l’échelle mondialle opérée en trois flux succésifs : 1789-1880, 1880-1950 et flux du notre jours. Pour le premier flux ont eu du poids trois industries qualifiées de motrices : industrie textile,