Histoire du cinéma
Très fréquent dans l’art et le cinéma d’aujourd’hui. Quand on parle de texte ici, on ne parle pas seulement de texte écrit, mais aussi de tableaux, de films,… C’est quand un texte cite un texte. Ceci ne fonctionne que si le spectateur comprend les allusions aux autres textes (on joue sur la culture populaire).
Ex. Shrek : Conventions des contes de fée. On fait référence à des conventions, des codes poussés à l’absurde. Ça peut fonctionner aussi rien qu’au niveau de la voix.
Ex . Gang de requins : Voix chef des requins présenté comme la mafia (De Niro, Scorcese, Will Smith) présenté en accord avec la musique.
Ex . Scary movies, etc . : marrant que si on reconnait les allusions
Ex. Simpsons.
L’intertextualité se joue sur plusieurs niveaux : film, littérature, pub,…
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Astérix Mission Cléopâtre :
C’est une intertextualité en soi, puisqu’on cite ici une bd. * Allusion à Star Wars à plusieurs niveaux : * Musique * Ti Amo : vieux tube des années 70 * I feel good : Rien à voir avec l’Egypte : Utilisé pour faire une sorte de clip de danse * Zizitop : font tourner les pierres avec leur bite * Claude François : Alexandrie, Baracouda (purement texte : + subtil que de mettre la chanson. * Hugues Aufray : Santiano. Texte chanson qui est de nouveau cité + barbe rouge (Bd qui préexistante). * Yakety yak (benny hill) : côté cartoonesque, burlesque renforcé par la mélodie. Même si elle n’est pas reconnue par le spectateur, elle fonctionne avec la situation. * Course de chiens : homme qui court comme un chien : on dirait une pub pour royal canin.. c’est en fait une référence à cette pub. Alain Chabat a fait une parodie de cette pub (Royal Rabin). On voit un Rabin courir à travers les champs comme un chien. [http://www.youtube.com/watch?v=HCHbk0Fjq50] * Sons * L’homme qui valait trois milliards.