Histoire du theatre
Le théâtre est resté en sommeil pendant presque 10 siècles, l’Europe a dû se défendre contre les invasions barbares. C'est l'église qui a pris à charge la pratique théâtrale, puisqu'elle contrôle l'éducation, les institutions, l'art et le commerce. L'aristocratie féodale va inventer au 12e siècle, une mythologie héroïque, le cycle Arthurien, celle d'une classe noble et guerrière éprise de valeur chrétienne et d'amour courtois. Toute l'Europe à cette époque avec ce qu'on appelle des ménestrels répandirent les divers épisodes de la table ronde mais cette écriture épique n'a pas eu de correspondance scénique.
Il y avait au moyen âge des farces grotesque qui subsistait sur des estrades de fortunes que l'église tolérait petit à petit, elle se distinguai des jeux liturgiques et profane avec des prétentions plus littéraire. La farce, mettait en scène le «peuple sot» et plus tard la pastoral.
En Italie, les laudi
En Angleterre, les miracles place.
En Allemagne, Lehrstücke
En France, les mystères.
Nous sommes dans des représentations symbolique et imaginaire de la vie religieuse et de la vie commune.
La religion - (Les saints, la passion du Christ...) (Tragique) La vie publique (le peuple) (Comique), on s'oriente vers la commedia avec un calva.
Dans chaque ville, on célébrait ces propres saints qui donne lieu à des représentions «théâtrale». La fonction de metteur en scène n'existait pas.
Le terme de metteur en scène est arrivé avec l'invention de l'électricité (début 20e)
L'organisation spatiale était un lieu élevé, dresse dans les villes et devant les églises. Les comédiens étaient des amateurs, petit à petit le lieu de la représentation va prendre au fur des années une forme établis (parfois entouré de véritable gradin). L'espace scénique se répartissait de la façon suivante, le paradis avec un trône sur élevé pour les divinités, l'enfer représenter par une gueule ouverte de dragon avec de la fumée et des chaudrons dans lequel