Homoeconomicus Resumé
I) Le Bonheur intérieur brut
L’humain déchiré entre le CA qui cherche les satisfactions immédiates, et le sur-moi qui pousse a des gratifications différées
Comparer sa vie engendre une baisse de morale (besoin maladif de comparaison)
Les biens intrinsèques procurent un bien être meilleur
L’homme s’adapte à tout, mais n’anticipe jamais sa propre capacité d’adaptation
Le divorce et la perte d’emploi ; les deux éléments les plus déprimants
L’importance de la concurrence (emploi, prix, mariage/divorce …)
Deux types de plaisirs : vulgaires et ceux qui élèvent l’âme
Gérer rationnellement son irrationalité (si on fait du régime éviter de passer devant une pâtisserie)
II) Le travail une valeur en voie de disparition
Le travail devenu plus compétitif, tout s’externalise ce qui augmente le risque de perte d’emploi et donc baisse du « bonheur »
Externalisation = baisse de synergie = - efficace
Plus de coopération, on parle de compétition
Le but de l’entreprise est de réaliser un profit, prétendre autre chose serait une aberration
Les Hommes répondent à la confiance placée en eux
La logique du Don/Contre-don
La récompense financière chasse la récompense morale / pas les deux à la fois
La forte compétition encourage la solidarité/coopération entre les faibles
Si on brise la valeur travail, il faudra alors durcir les peines et accroitre les récompenses pour rétablir l’ordre
L’après-guerre, l’âge d’or de l’économie américaine (large classe moyenne)
Apres les années 80, augmentation des inégalités crée par l’écart des salaires (inégalités résiduelles = due à la chance plutôt qu’aux compétences)
L’apparition de l’hyperclasse, les super-riches, phénomène sociale qu’économique
III) Le Déclin de l’empire
L’antiquité tardive, similitude avec les temps courants ou les riches exhibent leurs richesses
Lors des temps de gloire de Rome antique, les riches croyaient que leur situation quasi-paradisiaque allait être éternelle
La chute