Il est plus facile de désintégrer un atome que de vaincre un préjugé
Dissertation :
« Il est plus facile de désintégrer un atome que de vaincre un préjugé »,
Albert Einstein
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Le mois passé, François Marien, un jeune homme de 23 ans touché par le Softenon, s’est vu refusé un poste chez l’entreprise Scarlet pour cause de handicap. Selon celle-ci, François risquait de ne pas leur rapporter assez à cause de sa malformation.
En voyant ces termes, on ne peut que penser à la citation d’Albert Einstein :
« Il est plus facile de désintégrer un atome que de vaincre un préjugé ».
Il est quasiment impossible de briser un préjugé.
Albert voulut dénoncer les innombrables stéréotypes et dit que la destruction d’un atome est plus facile à réaliser que celle d’un préjugé.
Au jour d’aujourd’hui, il existe bon nombre de différents types de préjugés.
La plupart d’entre eux restent au stade de stéréotypes, d’autres évoluent en sexisme et racisme tandis que certains s’approprient le terme de discrimination.
Les préjugés sont basés sur des stéréotypes qui apparaissent lors du processus d’éducation en fonction de l’époque et du milieu. C’est une sorte de suite sans fin puisque le mimétisme familial, social ou national joue le rôle de relais entre chaque génération. Par exemple, dans notre société, un homme qui pleure, est un homme qui n’est pas ‘fort’ ; et cela depuis des siècles. Auparavant, l’homme travaillait dur (la femme restait à la maison) et ne se plaignait jamais devant quelqu’un pour ainsi garder sa fierté. Alors qu’aujourd’hui, la femme va au travail comme celui-ci et a le droit de pleurer si elle a mal. C’est une des innombrables idées qui sont préconçues et dont on ne cherche même pas à en trouver la cause.
Pourquoi n’éduquons-nous pas les enfants avec des valeurs encore plus saines ?
Prenons le temps de leur expliquer pour ne plus devoir faire face à ces clichés.
De plus, le sexisme est un des dérivés du préjugé.