Ile des esclaves
Nous allons étudier un extrait de La controverse de Valladolid tiré du chapitre 11 de Jean-Claude Carrière, né en 1931, il publie son premier roman Lézard en 1957. Cet extrait narratif a discours argumentatif va nous montrer comment Las Casas veut défendre la cause des Indiens contrairement a Sépulvéda qui les considèrent comme des Hommes !mais de nature inférieure. Ainsi nous nous demanderons pour quelles raisons Las Casas n'arrive-t-il pas à convaincre. Pour cela nou verrons son argumentation, celle de Sépulvéda, ainsi que le rôle du narrateur, du cardinal, et du public.
Dès le début de cet extrait c'est-à-dire des lignes 2 à 5 Las Casas utilises des arguments de logique, d'expérience, ainsi que de nombreuses phrases exclamatives, ce qui montre ses sentiment et exprimes son opinion. Il utilise aussi le pronom personnel "nous" qui signifie qu'il compare les indiens aux européens, pour prouver qu'eux aussi sont capable de penser comme tout le monde. Las Casas se sert d'hyperboles et d'un langage mettant en valeur les qualités des Indiens. A partir de la ligne 9 jusqu'à la ligne 11, Las Casas utilise de nouveaux des phrases exclamatives afin de montrer leur capacités. De la ligne 15 à 19, il utilise un argument ad hominem afin de contredire l'argument de Sépulvéda et le compare aux renards. Puis il s'énerve en se servant d'une question oratoire pour rabaisser le philosophe, et donc d'attaquer Sépulvéda. De la ligne 24 à 28 nous voyons de nouveau des questions oratoire de la part de Las Casas, qui critique Sépulvéda et remet en question ses capacités. Mais Las Casas réalise qu'il est aller trop loin, il essaie donc de se racheter et veut même partager les tord avec Sépulvéda. Malheuresement des lignes 42 à 44 il s'énerve encore en voulant insister sur la comparaison des indiens avec les européens, il est indigné et se met donc a attaquer la personne qui lui a poser la question. Il emploi mal le verbe "plaindre" car ici il veut plutôt dire crier.