imagination redac
Ce soir de décembre 1995, je rentrais de ma besogne habituelle, c’était une soirée plutôt normale. La nuit était paisible et claire. Les trottoirs enneigé laissèrent paraître des traces de pas. Alors que je fus perdue dans mes pensées, un pauvre homme, sans doute sans abris, m’aborda. Ne m’attardant pas à ses inquiétantes paroles, je continuai mon chemin... Après de longues minutes de marche, dans un froid semblable a celui de Russie, je me dirigeai vers la cuisine ou était déposé les courriers que j’eu relevé ce matin. Parmi eux, se trouvèrent un accusé de réception que j’attendis depuis d’interminables semaines. Il y a de cela quelques mois, je fus partie en voyage en Egypte, un pays très ravissant ma fois. Cependant, je n’avais pas manqué à rapporter quelques souvenirs de cette région radieuse ; sur un coup de cœur, j’ai acquis à une vente aux enchères une sculpture d’Anubis. Seulement, cette statue était trop imposante pour la faire voyagé dans un avion de ligne. Cette dernière dut donc être expédier dans un avion postal. D’après le reçu, je la réceptionnai dans trois jours. Le 14 décembre 1995, je reçus l’œuvre chez moi. Après de nombreux essais, je finis par la placée a l’entrée de mon domicile. Le lendemain, quand je sortie de chez moi pour descendre les poubelles, je découvris un mot déposé sur ma boite au lettres. Il y eu d’inscris : « Quant les oiseaux de fer voleront et les chevaux rouleront sur des roues, celui qui est à la tête du Pays sacré devra quitter sa maison, et la doctrine atteindra "l'homme aux joues rouges". » Qu’est-ce que cela voulait dire ? Qu’est-ce qui eut déposé ce papier ? Est-t-ai-je concernée directement ? Qui fut celui a la tête du pays sacré ? Qui fut l’homme aux joues rouges ? Pourquoi ? Comment ? Troublée, je rentrai chez moi. Malgré la courte distance, je restai sur mes gardes, à l’affut d’un nouvel incident. Quelques heures plus tard, je décidai de me rendre à la