L’industrie lainière au XIXe siècle
Mathieu de Dombasle créer la première ferme école a Roville en Moselle.
Deux de ses élèves vont créer des écoles sous la restauration. A grignon en région parisienne et Grandjean près de Nantes.
On est dans la France du nord, la France capitalistique.
L s’agit d’initiative privée qui sont isolé et ne bénéficie d’un soutien de l’état qu’indirecte.
Il faut attendre que soit créée l’école d’agriculture à Versailles.
Type de formation que théorique, critique en parti infondé puisqu’il y avait a la fois un enseignement pratique et théorique dispenser sur la journée.
Elles sont rare et on un recrutement très élitistes. Le but et de former les fils des gros fermier et des futurs régisseurs des grands domaines de l’état de la bourgeoisie terrienne.
On va les former à la botanique, aux sciences, a la comptabilité agricole. On va former les grands patrons agricoles.
De nouvelles structures, les stations agronomiques, créer et financer par les départements.
La première est celle de Pechelblorann. Une dizaine d’entre elles vont être créé sous la monarchie de juillet. Moment de débat au centre général de Dordogne pour savoir s’il est important de créer une station agronomique.
Les comices agricoles s’avèrent improductif. Au départ ils sont nés en Angleterre au 18ème siècle, ou il bénéficie du patronage de la famille royale et des grands propriétaires fonciers.
Circule en France avec Décaves en 1819. Début dans les campagnes de la noblesse légitimiste.
Elles sont structurées à l’échelle de l’arrondissement. Encouragé par les conseils généraux qu’il leurs accorde des primes et des subventions.
Concours agricole dans lesquels on expose les plus belles productions de l’arrondissement. Démonstration des techniques les plus performantes.
Extrêmement utile, montre l’ampleur du potentiel agricole locale.
Cette exposition est insuffisante, ne fait que montré le résultat, n’explique pas comment on est parvenu a ce résultat.
Les comices