Introduction.
En agonisant, Emma Bovary, personnage principal de l’extrait étudié, a rêvé et son rêve était de l’irréel et cela pour plusieurs raisons.
Developpement
En effet, plusieurs indices jalonnent la fin de l’extrait et qui montrent qu’elle avait rêvait d’un monde irréel.
D’abord, les personnages présents s’étaient tus. On n’entendait plus les oraisons du curé. Charles Bovary et
Félicie n’avait plus d’existence dans cette scène. Gustave Flaubert rapportait le point de vue de la moribonde : un monde à part où les vivants n’avaient plus aucune place.
De plus, Emma seule entendait le bruit des sabots à l’extérieur. Au lieu de dire « On entendit un bruit de gros sabots », Gustave Flaubert aurait pu écrire par exemple « Charles Bovary entendit un bruit de gros sabots et demanda à Félicie de voir de la fenêtre qui était le passant». Cela prouve que personne des personnages qui assistaient à l’agonie d’Emma n’avait entendu le bruit des sabots et du bâton. Après cela, Emma s’écria :
« L’aveugle !». Les personnages présents n’avaient pas réagi cela veut qu’ils n’avaient pas entendu Emma crier. Mais, ils étaient présent puisqu’ils se manifestaient la fin lorsqu’elle avait rendu l’âme : « Tous s’approchèrent ».

Enfin, la chanson de l’Aveugle (symbole du destin et la mort) ne concernait que la moribonde parce qu’elle racontait son passé et peut-être ses secrets. C’était une chanson qui lui rappelait ses péchés lorsqu’elle était fillette et ne rêvait qu’à l’amour. Un amour dangereux parce qu’il était cueilli tel des épis dans le sillon de :
« la faux [qui les] moissonne»

Conclusion.
« Emma se releva comme un corps que l’on galvanise » prouve que son corps était sans force ni âme et donc toute la scène signifie que les visions de la moribonde étaient irréelles. La preuve « Elle n’existait plus » dans les moments qui avaient suivi.