Jambon et frites
Cinéma et relations internationales
Le « soft power » du cinéma
Relations internationales : toutes les manifestations internationales, tous les comportements humains qui prenant naissance d'un côté ou d'une frontière exerce une action sur le comportement humain de l'autre côté de cette frontière.
Joseph nye : le soft power est un pouvoir d'attraction (exemple : charge des lanciers polonais, « l'innocence des musulmans », « ce que nous vendons à Coca cola c'est du temps de cerveau disponible » Patrick Le Lay)
La géopolitique du cinéma
Le cinéma est un révélateur de puissance des Etats, capacité d'un Etat à produire du cinéma et à porter ses valeurs au delà des frontières. Le vecteur de puissance le plus important est la culture. Hollywood est devenu est un véritable acteur des relations internationales. Le ciné US n'est pas le premier producteur mais le premier en terme de ventes (blockbusters, vente dérivées)
Cinéma et mondialisation :
Catherine Tasca : cota qui impose aux chaînes d'investir dans des films français et européen, cota de 40% d’œuvres françaises.
Déclin de la culture
Ce décret coûterait 10 milliards d'euros par an
Globalisation financière, organisation mondiale de la production, libre circulation des marchandises et des services, l'instantanéité des informations.
Mondialisation permet culture mondiale de masse
Vincent Lowy : la mondialisation est une culture de superposition, elle ne fait pas disparaître les cultures nationales.
EON (Everything or nothing) et DANJAQ : réussite de petite société dans la mondialisation (musicien : John Barry)
United Artist reprend la production
MGM rachète United Artist → James Bond devient « anti-soviétique » à partir Octopussy
Le crédit lyonnais investit dans la production. Goldeneye réussit à faire redémarrer la série.
Washington et Hollywood :
Cinéma de propagande dans l'Allemagne Nazi (« Le triomphe de la volonté ») → permet de diffuser une idéologie.