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"Les professionnels doivent établir un cadre de déontologie". La télévision a gagné son droit à la liberté d'expression. Elle est confrontée maintenant au problème soulevé par les excès dans l'exercice de cette liberté. En face des droits des professionnels, il y a les devoirs vis-à-vis du public. Les téléspectateurs ont des droits et commencent à les faire valoir en créant des associations. L'inquiètude devant le manque de préoccupation morale à la télévision apparaît. Il serait souhaitable que les professionnels réfléchissent à l'élaboration d'une déontologie plus contraignante, qui tienne compte des droits et devoirs de chacun.
La responsabilité des médias à l'égard du public est d'ordre moral. - Les professionnels doivent tirer les leçons d'une méfiance croissante du public et réfléchir à élaborer une déontologie efficace. -
morales doivent servir de critère pour sélectionner ce que la télévision donne à voir. Les professionnels ont des devoirs à l'égard du public, ils ont à établir et respecter une déontologie raisonnable.
"La morale demande de ne pas dépasser certaines limites. " En 1985, le monde entier assiste en direct à l'agonie d'une petite Colombienne. Il y a des leçons à tirer de cet événement télévisuel. La télévision ne devrait pas céder à la séduction du spectaculaire et à la possibilité de faire de l'audimat. Dans le cas cité, la dignité humaine n'a pas été respectée, ni dans la personne, ni dans celle des spectateurs. Il est essentiel de faire la distinction entre information véritable et voyeurisme immoral. Il existe des domaines (comme ceux du sexe ou de l'horreur) qu'il conviendrait de délimiter rigoureusement.
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