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En effet, « La maison des morts » est un des poèmes qui m’a le plus touché. Dans ce texte, l’auteur raconte une histoire surréaliste où les morts et les vivants vivent le temps d’une soirée dans le même monde. Il parle de femmes mortes et d’hommes vivants qui rêvent de « fiançailles » mais cela est impossible. Je pense qu’à travers ce poème, l’auteur s’identifie à ces hommes, surement blessé et mélancolique de ces amours passés. Dans « Le voyageur », le poète parle d’une femme, cette fois-ci plus explicitement. Il énumère un certains nombres de lieux, il évoque des souvenirs, des voyages accomplis, toujours suivis de la question « te souviens-tu ? » qui montre que le poète est nostalgique. Il se raccroche à des petits détails insignifiants et parle de sa compagne et de lui-même à la troisième personne du pluriel, comme si ces personnes étaient quelqu’un d’autre ce qui montre sa mélancolie. « L’adieu » est un court poème que je trouve très beau mais à la fois triste. Ce texte évoque le deuil de l’auteur, mais je ne sais pas de quel deuil il s’agit, s’il s’agit du deuil de la saison ou du deuil de sa femme car en effet, dans ce poème, il est question de l’automne, et d’un brin de bruyère. Le sens de ce poème est donc une problématique à la compréhension du texte. Néanmoins, je pense qu’au sens profond du texte, le poète parle du deuil de sa femme, de façon mélancolique. Pour conclure, j’ai trouvé ces trois textes vraiment intéressants, ils laissent place à une réflexion profonde sur le poème que