John cage et ses influences
(sa vie est touchée de rencontre et d'influence)
Rencontre avec le cubisme et le dadaïsme ( Duchamp).
1930 : Cage arrive à Paris et il va faire la rencontre d'une écrivaine américaine qui s'appelle Gertrude Stein. Cette femme a écrit un poème « Rose is a rose is a rose.. » Il va ensuite croiser Apollinaire qui est lui-même cubiste. Il découvre ensuite le dadaïsme, et il va prendre connaissance du hasard :
Le dadaïsme se développe dans les années 20.
Mouvement qui nie tous ce qui précède, qui rapporte tout à rien, qui fait table rase ( reconnue dans toute les sociétés bourgeoises ).
Rencontre avec Duchamp:
Rencontre entre Duchamp et Cage à New York en 1942 lors d'une soirée organisée par Peggy Guggentein. Au coeur du dadaïsme se trouve M. Duchamp qui est l'auteur du « ready made ». Duchamp est le partisans d'un anti-art qui est conçu avec des objets sans valeurs et empruntés au quotidien. Le ready-made s'inscrit autour de plusieurs mots : « Nonintentionalité » « Juxtaposition » « Superposition ». Ce dernier mot va amener à la confusion des langages des artistes ( ex: mettre des mots dans la peinture, des bruits de la vie ou dans la musique ) BUT: Désacraliser l'art pour donner une plus grande place au quotidien. Cage va faire un hommage à Duchamp en faisant une partition visuel « Cheese pieces », il écrit des notes musicales dans des cases d'échiquiers.
Rencontre avec Luiji Russolo:
C'est un futuriste musicien qui va intégré à son oeuvre musical des bruits de la nature et des bruits industriels. C'est comme s'il fabriquait des collages sonores avec des sons « ready-made ».
John Cage s'en inspire et se demande si l'on ne peut pas concilier des sons naturels et culturels. Il est sensible au bruit. Parallèlement il va être sensible au silence.
Rencontre avec Erick Satie: Cage en déduit que le silence compte autant que le son, ce n'est pas seulement une intervalle. Erick Satie est interdisciplinaire : il