Julien dans la place
1 .
Le point de concours de ces deux courbes représente le prix pour lequel les quantités offertes et demandées sont égales. On peut donc dire dans ce cas la que 3 est le prix « idéal »
2 . Tout d’abord, si le prix était moins élevé que le prix d’équilibre les quantités demandées seraient beaucoup plus importantes que les quantités offertes. En effet, on peut voir qu’au prix 0, les quantités offertes sont de 0 kg et les quantités demandées sont de 1000 kg. Ensuite, au prix 1, les quantités offerte est de 50 kg tandis que les quantités demandées représentent 500 kg et enfin au prix 2, les quantités offertes sont de 200 kg et les quantités demandées sont de 400 kg.
En revanche, si le prix était plus élevé que le prix d’équilibre, les quantités offertes seraient plus élevées que les quantités demandées. Effectivement, au prix 4, on peut voir que les quantités offertes représenteraient 500 kg tandis que les quantités demandées seraient uniquement de 200 kg. Enfin, on peut constater qu’au prix 5, pour 600 kg de quantités offertes les quantités demandées seraient de 0, donc nulle.
3 . Le modèle de la Concurrence Pure et Parfaite (CPP) présente cinq conditions essentielles :
L’atomicité : il existe un grand nombre d’acheteurs (la demande) et de vendeurs (l’offre) qui sont des agents économiques.
L’homogénéité du produit : toutes les entreprises livrent des produits et services que les acheteurs jugent identiques ou homogènes.
La transparence de l’information : les offreurs et les demandeurs soient parfaitement informés des caractéristiques des produits et des prix auxquels ils sont proposés.
La libre entrée et sortie sur le marché : quiconque veut s'adonner à une certaine production peut le faire sans restriction ni délai, pénétrer sur le marché et ainsi concurrencer ceux qui s'y trouvent déjà.
La libre circulation des facteurs de production : Les facteurs de production sont parfaitement mobiles et peuvent se déplacer d'une