synthese Dans quelle mesure l'école est-elle source de mobilité sociale?

Depuis sa création au XIX° par Jules Ferry L'école de la troisième République est le symbole d'une démocratisation scolaire. En effet, elle est synonyme d'accès à tous à l'enseignement publique avec, par conséquent, une réduction des inégalités ainsi qu'une plus grande mobilité sociale à travers un système scolaire méritocratique. Cependant on constate que le système scolaire ne suit pas cette voie mais contribuerait à une simple reproduction sociale. En effet, malgrès une hausse du niveau d'obtention du BAC les schémas de reproductions sociale reste inchangés. Nous étudirons dons ce sujet en deux parties. La première constituera à déterminer le rôle de l'école dans la mobilité sociale puis nous verrons ces limites en seconde partie.

Pour Émile Durkheim, l'école est un élément essentiel du « vivre ensemble » à travers un lieu d'apprentissage de valeurs communes. L'école est également facteurs d'égalité des chances et de mobilité méritocratique. En Effet, on peut illustrer ces propos par le Doc 1 qui montre une nette progression de l'obtention du baccalauréat aussi bien chez les ouvriers que chez les cadres entre 1950 et 1978. Vision Holiste de Durkheim où l'école permet à tous d'intégrer la société. L'école dépassent l'individu et ses intérêts car elle sert « pour la société à renouveler perpétuellement les conditions de sa propre existence à savoir ses valeurs collectives » L'école contribue donc a la socialisation de l'individu dans la société. Elle détermine les acteurs futur de cette société. {text:soft-page-break} II/ Mais le système scolaire est facteurs de « freins » à la mobilité sociale. Une école pour tous mais hiérarchisé. Bien que l'on constate une hausse de l'obtention de baccalauréat qui pourrait être revendiqué par un phénomène de démocratisation, on peut en réalité l'expliquer par un autre phénomène. En effet, l'obtention du baccalauréat