Koltès, iiie tableau de la mère, le meurtre de la mère,
Bernard marie Koltès :
- dramaturge contemporain fondateur de la compagnie “Théâtre de quai” à
Strasbourg
- écrit des pièces comme Dans la solitude des champs de cotons ou Combat de nègres et de chiens mettant en oeuvre un language poétique pour dire la violence et l’incommunication entre les êtres
Roberto Zucco :
- pièce inspiré d’un fait divers, celui d’un tueur en série italien mort en 1988, Roberto
Zucco, incarcéré, parricide, …afficher plus de contenu…
obsessionnelle = inversion des rapports de force mère/ fils
C’est mon treillis que je veux, je veux mon treillis -> phrases déclaratives -> expression d’une volonté forte et répété avec insistanceJe ne veux pas, je ne veux pas, je vais appeler les voisins -> refus de la mère -> sentiment d’effrois du spectateur, en attente d’un crescendo de la violence + didascalie interne Ne crie pas Roberto
Tu déraille -> métaphore filée du train quittant les rails -> intensifie violence intérieure du fils + tu es complètement dingue -> hyperbole je te donne de l’argent, tu achèteras tous les habits que tu veux -> ambiguïté des rapport mère/ fils avec une mère généreuse qui semble faire face à un enfant
Je ne peux pas te le donner, c’est impossible, je ne veux veux pas te le donner -> …afficher plus de contenu…
Est ce moi qui t'ai accouché? Est ce de moi que tu es sorti ? -> questions rhétoriques
-> interrogent origine de la métamorphose du fils et le lien mère/ fils -> mettre en doute son statut maternel
Je croirais qu ece n’est pas mon fils -> propositions subordonnée hyperbolique mais champ lexical de la naissance et du sensoriel vient confirmer le lien maternel -> vu sortir, suivit des yeux, mon regard sur toi, surveillé
Changement -> voc de la métamorphose transformant le fils en monstre ne permet pas la mère d’en expliquer les raisons image du train qui déraille, accident de voiture, chute dans l'abîme -> déshumanisent le