L'école : initiation, passage, passage, passage
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Dans « Le Thé au harem », l’école représente un lieu de confrontation, Madjid arrivait à reconnaitre ses amis qui étaient déjà ses voisins à la cité, mais devait s’affirmer devant les autres élèves qui eux. « Madjid fut inscrit à l’école. Les copains du bidonville, il les reconnut à leurs godasses sales. La boue. C’était pas la peine de cirer ses pompes là-bas, ou alors il fallait être drôlement acrobate ! Dès qu’on avait fait deux pas, on était marqué. Entre le bidonville et la route, il y avait une tirée, on pouvait pas la faire sur la tête. » (Le Thé au