La barbarie selon levis strauss
Le barbare est-il d’abord la personne qui croit à la barbarie ? En effet c’est ce que nous allons démontrer. L’attitude provient-elle des formes culturelles ? Les notions de « sauvage » et « barbare » sont-elles différentes ? Qu’est-ce que le paradoxe du relativisme culturel ?
L’ethnocentrisme est le thème principal de cet extrait. D’une façon générale ceci est l’habitude psychologique ou mentale qui consiste à considérer ma culture comme une valeur absolue. En effet Claude Lévi-Strauss est contre cette idée de « répudier purement et simplement les formes culturelles : morales, religieuse, sociales, esthétique, qui sont les plus éloignées de celles auxquelles nous nous identifions ». Cette caractérisation entraine des réactions grossières tels que « Cela n’est pas de chez nous » où l’on remarque que les autres ne veulent pas s’adapter aux autres cultures que la leur. Il croit que leur façon de vivre est la meilleure, ainsi leur propre culture est importante pour eux. On remarque également « Habitudes de sauvages » qui désigne les autres comme des intrus, des inconnus. Pour moi, l’ethnocentrisme est le fait de, par sa culture, se sentir supérieur aux autres cultures.
On apprend ensuite que les mots « sauvages » et « barbares » sont utilisés pour caractérisé certains membre de la population. Strauss nous indique tout d’abord que le mot « barbare » vient de la culture gréco-romaine. Les grecs et les romains utilisaient ce terme pour désigner tous ceux qui n’appartenait pas à la civilisation grecque. Bàrbaros signifiait non grec. C’est une expression très péjorative. L’homme est par essence un être de culture, mais cela ne l’empêche